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A.H.M.E.

COMMUNIQUE 24:

 

 

 

Le ministre de la justice, Abidine Ould Kheir,
reconnait qu’il est esclave de sa tribu.


Le ministre de la justice M. Abidine Ould Kheir, aurait reconnu sa servilité à la famille Ehl Khou, quand il a répliqué à des accusations l’indexant d’arborer des slogans tribaux sur son domicile dans la ville de Nema, à 72h du coup d’envoi de l’émission Ligha Chaab, ce Grand Oral direct annuel du Président de la République retransmis par les médias depuis la capitale du Hodh Charghi.

Selon les informations rapportées sur ces présumées révélations, le ministre de la justice  s’est même dit très honoré par cette servilité ainsi  par son appartenance à la famille précitée, considérant ces liens sociaux de décoration accordée à son image.

Ould Kheir, aurait confié, selon les mêmes sources, que ces maîtres soutiennent le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz et qu’en conséquence, ils ont le droit d’exprimer leur appui politique sincère  de la manière qu’ils trouvent la mieux appropriée pour témoigner ce sentiment.

Ould Kheir, ennemi juré de l’IRA, occupe un portefeuille ministériel de souveraineté et se présente pour l’opinion comme étant l’un des soutiens inconditionnels de l’actuel chef d’Etat, mobilisant  régulièrement ses affinités  sociales et politiques pour assurer sa réélection à la future présidentielle de 2014.

Source : http://rapideinfo.net/index.php/politique/1895-le-ministre-de-la-justice-reconnait-sa-servilite-a-la-famille-ehl-khou.html
 

 

 Le président de l'Assemblée nationale
dans le collimateur de l'IGE

Alors que le dénouement de l'affaire Hamza-IGE arrive difficilement à dévoiler ses contours définitifs à l'opinion,  qui auraient conduit à son ralentissement et à son orientation vers des arrangements intermédiaires, des sources indiquent que l'Inspection se dirige vers une mise en demeure du président de l'Assemblée Nationale Messaoud Ould Boulkheir.

 Des informations non encore confirmées, mais que le décryptage  de nouvelles régulières se rapportant à la présumée gestion personnalisée de cette hémicycle parlementaire  et au refus de son patron de nommer un comptable pour succéder à son précédent trésorier, décédé depuis un an, renforcent fortement  l'éventualité.

 Ceci est d'autant plus vrai que présentée comme étant une arme politique aux mains des autorités, l'IGE pourrait être lancée à la poursuite de Ould Boulkheir, surtout  depuis qu'il a commencé à manifester des positions politiques très  hostiles au pouvoir.

 Selon les échos précités, les limiers de l'IGE Mahfoudh Ould Mohamed Ali effectueront incessamment, vraisemblablement en  aout prochain des contrôles sur les comptes 2012 de la chambre basse, pour se décider  par la suite sur la confirmation des supposées  accusations de malversations portées contre les responsables de ses finances.

 Sur un autre plan, notons que le Président de la République Monsieur Mohmaed Ould Abdel Aziz aurait manifesté au cours de l'une des dernières réunions du Conseil des ministres, son profond agacement de la gestion douteuse de l'Assemblée nationale, accusant vertemment Messaoud Ould Boulkheir de "saregue ahmar" (voleur de plein jour)

Lien : http://rapideinfo.net/index.php/component/content/article/27-a-la-une-/1422-le-president-de-lassemblee-
nationale-dans-le-collimateur-de-lige-.html

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