ARTICLE 428:

  

ESCLAVAGE – APARTHEID – GENOCIDE – DEPORTATION

L’IRA-Mauritanie s’oppose

Les crimes et fléaux que dénonce Monsieur Birame ould Dah ould Abeid, président de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste de l’esclavage en Mauritanie, ne laissent l’Etat mauritanien sans s’adapter à cacher son fondement historique et actuel.

Une longue série de crimes contre l’humanité qui enrage l’Etat arabo-berbère de la Mauritanie contre les 85 % des populations noires en Mauritanie. Son arme fatale consiste à utiliser des ministres et généraux Nègres afin de réduire au silence les contestataires – par tous les moyens. Après avoir suscité en vain ses cerbères, le Nègre ministre de l’intérieur, Mohamed Ould Boilil,  ses « imams » prêcheurs de l’esclavage au nom du « coran », c’est désormais au chef d’Etat-major, Nègre de service pitoyablement connu depuis 1987, pour les meurtres, les tortures, et les déportations de milliers de Noirs commandités par les arabo-berbères de passer à l'acte.

Depuis le voyage du président de l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste de l’esclavage, un regain de resserrement de l’étau de l’Etat esclavagiste de la Mauritanie le tient dans sa ligne.

L’arrivée de Birame ould Dah ould Abeid en Europe avait pour but de présenter le documentaire « Chasseurs d’esclaves », lors du Festival international du film et des droits de l’Homme, à Genève, du 5 au 14 mars 2010.                                                                                                                                      

Son départ de la Mauritanie est effectué dans la plus grande difficulté. Son passeport de service confisqué  et les larbins du régime délégués pour contrer son témoignage. Econduits par la petite porte par les défenseurs des Droits de l’homme  ces esclavagistes sont rentrés au pays pour monter leurs coups mesquins de camouflage du phénomène d’esclavage et d’apartheid qui persiste dans toutes les sphères et tous les lieux publics et privés du pays. Dénoncer effectivement et vigoureusement l’esclavage, cela met en alerte et excite au plus haut point l’instinct criminel des généraux, prêcheurs, politiques, commerçants, arabo-berbères au pouvoir. Toutes les propagandes mensongères et intimidantes des arabo-berbères visant à étouffer dans l’œuf le germe de conscience qui s’éveille chez les 45 pour cent d’esclaves en Mauritanie, n’ont en rien réussi à clore la voix de Birame ould Abeid.

D’abord le régime maure a utilisé le ministre de l’intérieur Mohamed Ould Boilil, nègre de service, qui est lui-même de la caste des esclavages pour la sale besogne d’assaillir et de bâillonner le leader du mouvement abolitionniste. Rien de fait. Les vérités fusent de plus en plus et mobilisent des militants des droits de l’homme de taille à travers le monde.

Voir : Communiqué : le 12 février 2010. « L'Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l'Homme, un programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH) et de l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT), exprime sa préoccupation face à l'intensification des menaces et des entraves subies par le défenseur Biram Ould Dah Ould Abeid, conseiller à la Commission nationale mauritanienne des droits de l'Homme, président de l'Initiative de résurgence du mouvement abolitionniste en Mauritanie (IRA) et chargé de mission auprès de SOSEsclaves. »

 

A l’échec de corruption et d’intimidation suit, de la part de l’Etat esclavagiste de Nouakchott, la délégation de ses « imams » : les prêches et les réseaux internet à travers les sites arabophones et xénophobes, favorables à l’esclavage battent campagne. Le peut être musulman, mais pas l’égal d’un Arabo-berbère, en Mauritanie le Noir est au rabais avec le slogan de République islamique ! Pour ces « imams », l’Islam est favorable à l’esclavage des Noirs et au maintien en esclavage des esclaves historiques en Mauritanie. Esclaves capturés pendant même qu’ils étaient musulmans ! Leur compréhension de l’islam est dichotomisant des êtres humains exclut jusqu’au droit de propriété de tout Noir en Mauritanie ! Certains qui doivent guider les autres dans la « voie de Dieu », les nobles en l’occurrence les arabo-berbères, d’autres doivent subir dans la patience pour leur salut ! et se contenter du minimum d’existence que les premiers leur reconnaissent.

L’IRA, l’Association des Harratine Mauritaniens d’Europe, l’Organisation contre les Violations des Droits Humains en Mauritanie ont tourné trop vit en ridicule leur conception esclavagiste moyenâgeuse et inquisitrice à l’encontre des HARRATINE ET DES NOIRS en Mauritanie.

Ultime combat du Nègre chef d’Etat-major contre l’Initiative de Résurgence du mouvement Abolitionniste de l’esclavage en Mauritanie.

La campagne d’un chef d’état-major redoutable de crimes. Actuellement, le général Dieng Ndiaga bat campagne tenu en laisse par ses commanditaires, esclavagistes arabo-berbères au pouvoir en Mauritanie. Dans le village du leader de l’IRA, Jidrel-Mohguère, le Nègre de général envoie dans la nuit du 10 au 11 mars une troupe de gendarmes. Par les intimidations, des témoignages doivent être soutirés aux villageois soumis à l’esclavage agricole par décret étatique d’arabisation (d’après la « charia » : l’ordonnance 33 – 127 du 5 juin 1983 renforcé par le décret d’application du 31 janvier 1990) de toute terre en Mauritanie. Le peloton sous les ordres du criminel et tortionnaire notoire, est chargé de soutirer aux habitants de Jidrel Mohguen les preuves de sédition et d’un préparatif d’insurrection que fomenterait le président de l’IRA. L’objet de toute cette agitation des esclavagistes : porter les fausses informations réquisitoires qui accuseraient coûte que coûte le président de l’IRA aux yeux des Négriers.

Le séjour de Birame ould Dah ouls Abeid en Europe a déclenché l’indignation à l’encontre de la persistance évidente de l’esclavage en Mauritanie. Son village s’en trouve assailli de nuit par les bourreaux de Nouakchott pour fonder l’opposition d’un préparatif de révolte et de la volonté d’acheter des armes en Europe. Avec un financement de l’Etat … D’Israël !  

 

Promotion canapé d’un criminel nègre au service du maintien de l’esclavage en Mauritanie.

 

Les états de services de l’actuel chef d’état-major de l’armée mauritanienne, N’diaga Dieng, tiennent un mot : un Nègre utilisé par les esclavagistes pour réprimer, torturer et assassiner tout Noir qui ose faire état d’esclavage et d’apartheid en Mauritanie. Bien connu des milliers de déportations, viols, expropriations de terres, nettoyage racial et ethnique entre 1989 et 1992. Sous le régime du génocidaire, non moins criminel et esclavagiste que l’actuel, qui en est la continuité et qui en augure le recommencement.

1987 : chargé d’une Commission d’enquête suite à un coup d’Etat imaginé par les arabo-berbères du 22 octobre 1987. Le procès organisé avait conduit le 6 décembre à l’assassinat de trois officiers Négro-mauritaniens : Sy Saïdou, Bâ Saïdou, Sarr Amadou.  

1990 – 91 : les esclavagistes se rappellent sa compétence de diriger une commission d’enquête. Même cause même effet. Nouveau coup d’Etat imaginaire que des Noirs fomenteraient. Nouvelles séries de chasse à l’homme Noir ! Jugements extrajudiciaires et pendaisons.

Un laps de temps écarté par les arabo-berbères, au lendemain d’un pseudo coup d’Etat organisé le 6 août 2008 par le régime esclavagiste, afin d’écarter et protéger  un génocidaire sous le coup d’une plainte à Bruxelles, à savoir Maawiya ould Sidi Ahmed Taya.

Récemment rappelé, De colonel, il est promu général, en tant que NEGRE, devant s’occuper du cas d’un autre Noir, Monsieur Birame ould Dah ould Abeid, président de l’IRA, qui appelle à l’éradication de l’esclavage en Mauritanie.

Nous appelons à une mobilisation nationale et internationale pour dénoncer et exercer les pressions juridiques, matérielles et morales :

- Les esclaves en Mauritanie doivent recouvrer des droits humains reconnus par toutes les conventions internationales, même nationales d’après les lois d’abolition et de criminalisation du phénomène d’esclavage (1981 et 2007)

- l’apartheid doit cesser de sévir contre 80% des populations noires de la Mauritanie ;

- les déportés qui rentrent au pays doivent retrouver leurs terres expropriées et distribuées aux arabo-berbères

FALL Moctar porte-parole de L'OCVIDH

 

 

 

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