A.H.M.E.

ARTICLE 145 :

 

 

L'ambassadeur Ould Zahave ou le vendeur du vent !


La commission des Nations Unies des droits de l’homme à Genève, est l’organe le moins important  de toutes ses institutions subsidiaires ! Même être président de cette institution, est sans aucune importance ! A plus forte raison, un vice-président parmi une quarantaine d’autres qui n’ont aucun intérêt !

Les résolutions non exécutoires de cette institution n’impressionnent personne … Comme on dit, le chien aboie, la caravane passe ! Les délégués désœuvrés viennent meubler leur temps dans les grands salons genevois, pour critiquer tel ou tel pays mais personne ne les écoute ! Les recommandations sont immédiatement jetées à la poubelle…

Donc, Ould Zahave ne s’enorgueillit de rien. Ce personnage farfelu pense avoir réalisé un miracle ! Comment peut-il ignorer, après quatre ans de séjour à Genève, que devenir vice-président de la commission des droits de l’homme, n’a aucune importance ?

Mais Ould Zahave , n’ est pas le seul à être malhonnête parce que la plupart de nos ambassadeurs se vantent d’ avoir fait ceci ou cela alors qu’il n’ en est rien ! D’ailleurs, la question des droits de l’homme est un mythe que seules les autorités mauritaniennes entretiennent encore, pour caser des HAPNOL vauriens, comme Zahave et compagnie ! Chez nous , l’ esclavage restera toujours un talon d’Achille !

En tout cas, les saoudiens étaient bien inspirés d’avoir refusé l’accréditation de Ould Zahave , le vendeur du vent , pour ne pas entacher les lieux saints par sa présence !     

Publié par Lakhbaar Tebgue Vi Dar


 

 

 

 

 

 

 

 

Passif humanitaire de Sidioca : les Adwabas réclament leur droit à une vie descente.

 

    Les adwabas sont, comme tout le monde le sait, des regroupements de villages d’anciens esclaves démunis et laissés pour compte, vivant de leur sueur en travaillant la terre des autres.
    Chaque famille est entassée sous un hameau (Mahmel), une sorte de sans toit, sans eau potable, ni électricité, ni d’ailleurs la moindre présence de couverture sanitaire.
    La moitié des adwabas (moins de 16 ans) meurt de maladies, pourtant curables.
    Les adwabas sont basés justement là ou se trouvent ce qu’on appelle aujourd’hui les camps des réfugiés revenus récemment du Sénégal, du Mali et d’ailleurs.
    Avec un appétit lancinant et un regard d’incompréhension totale, ils suivent aujourd’hui toutes les faveurs d’insertion qui entourent les nouveaux voisins (réfugiés), alors que eux, n’ont ni chèvres, ni brebis, ni vaches.
    Ils voient aussi que les gouvernements de Sidioca qui se succèdent, procurent à chaque réfugié chèvres, vaches, brebis et maisons, sans parler de la nourriture mensuelle assurée.
    Les adwabas se disent : « qu’avons-nous fait pour ne pas bénéficier des mêmes droits que ces gens qui se disent mauritaniens, alors que, nous n’avons jamais quitté cette terre-là, avec pour seul compagnon la misère et la faim ? Sidi Ould Cheikh Abdallahi est-il vraiment un mauritanien ou bien est-il tout simplement une koriya mkhessla venue du Niger ? »
    Les anciens présidents de la Mauritanie distribuaient à part égale la misère, en guise de justice pour tous. Sidioca quant à lui, ne s’occupe que des réfugiés et c’est normal, mais encore faut-il qu’il
    s’occupe également des autres citoyens et de la même façon !
    Son crime odieux est surtout d’avoir confié l’agence pour le retour des réfugiés avec un budget faramineux, au tristement célèbre Moïssa Fall dit le manipulateur nocturne.
    Ce Kadihine ou plutôt Lahissine de première heure, ne s’occupe réellement que des ces intérêts personnels.
    Il maquille son despotisme à l’agence par des discours démagogiques bien tissés, dont il a le secret.
    Tantôt négro-mauritanien, tantôt maure, ce diambour de Lahwach est le père des caméléons… Il a une facilité extraordinaire de changer ses couleurs politiques, selon le moment. Les adwabas le détestent et ne comprennent pas, non plus le silence assourdissant de toute la société civile mauritanienne à leur égard, en particulier SOS ESCLAVES de Boubacar Messoud et le conseil des droits de l’homme de Said Ould Hemedi (sorte de planque d’anciens retraités).
    Quant à Aminata M’baye, son racisme à l’égard des adwabas n’est pas à démontrer.
    Aujourd’hui, les mauritaniens, qu’ils se trouvent à Tintane ou abandonnés dans la région du fleuve, sont tous des réfugiés et ils ont besoin de l’aide et de secours, alors que l’agence de Moïssa Fall et ses acolytes, est entrain de dévorer des milliards d’ouguiyas pour réveiller le démon de la réforme foncière et créer les inégalités dangereuses. L’université américaine Arizona, qui est entrain de financer l’agence de Moïssa Fall, doit en être informée. Une personne avertie, en vaut deux.

    Lakhbaar Tebgue Vi Dar

     

 

 

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