A.H.M.E.

ARTICLE 103 :

 

 

La police Mauritanienne rejette les fausses accusations de la presse et crie à l’acharnement.



Toc, Toc, Toc, la police mauritanienne s’indigne du fait que les autorités mauritaniennes prétendent que certains policiers ont été arrêtés à la « tête d’un vaste réseau de trafic de faux papiers mauritaniens ». Selon les policiers, cette information parue dans la presse avec la complicité du directeur chargé des registres de l’état civil et de l’enrôlement des citoyens, est totalement fausse. Certains policiers confirmeront que leur hiérarchie a été saisie aussitôt de cette affaire pour démentir l’info, apparemment la communication venait d’en haut pour brouiller les pistes. D’ailleurs certains policiers ont témoigné selon eux qu’aucun membre de leur corps n’a le droit et le pouvoir de recenser qui que ça soit. Leur rôle se limite juste au maintien de l’ordre en assurant la sécurité des locaux. Le directeur de l’état civil et le pouvoir du fou faux général Aziz trouvent qu’il y a trop de noirs recensés, donc il faudra baisser le nombre « chiffre » de citoyens noirs afin de dégager une majorité arabe dans le pays. Certaines personnalités au sommet de l’état très proches du général ont tout simplement demandé de supprimer dans les registres de l’état civil en cours  ceux qui ont quitté l’Europe, Etats-Unis et ailleurs dans le monde pour se recenser sur place en Mauritanie. Ces gens seront remplacés par les réfugiés Touaregs du Mali sur le territoire Mauritanien et des Sahraouis. L’affaire agite la police Mauritanienne qui a vu son image se dégradé de plus en plus suite aux multiples meurtres, viols et la montée de la délinquance dans la capitale Nouakchott. Affaire à suivre, si le peuple Mauritanien ne bouge pas dans son ensemble, on payera les pots cassés très chers.


Merci

Diko hanoune


Ci-dessous l’article en question incriminant la police :

Des policiers à la tête d’un vaste réseau de falsification de pièces d’état-civil

Les autorités sécuritaires ont dévoilé l’existence en Mauritanie d’un vaste réseau de falsification des pièces d’état-civil dirigé par des policiers travaillant dans les centres où ce scandale a été découvert.

Et selon les sources particulières d’El Hourriya, le commissariat de la police judiciaire a transféré, jeudi dernier, un groupe de policiers dont un travaillant dans un centre d’état civil à Dar Naim et accusé d’avoir falsifié un certificat de recensement au profit d’un citoyen algérien qui a ainsi pu obtenir un passeport mauritanien.  Tous les membres du groupe ont été envoyés à la prison civile de Nouakchott jeudi dernier.

Au même moment, le commissariat de police n°1 de Teyarett poursuit les investigations avec un autre groupe dirigé par un brigadier chef qui était membre d’un bureau d’enrôlement dans la moughataa du Ksar. Ceux-ci sont accusés d’avoir falsifié des papiers pour des ressortissants sénégalais et maliens.

Les investigations en cours pourraient dévoiler un vaste réseau qui a des ramifications dans d’autres centres d’enrôlement.


Source : Elhouriya : http://elhourriya.net/fr/fait-divers/8678-mauritanie.html


 

 

 

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